Récit à deux voix pour des fesses

Catégories : Femmes fessées
il y a 9 ans

Un vendredi soir à 19h30, c’est l’été et certains sont en vacances, mais moi je sors de mon travail. J’ai déposé ma voiture au garage ce matin, et donc j’utiliserai l’utilitaire de la société pour le week-end. C’est une camionnette Mercedes avec 2 sièges à l’avant, et une banquette 3 places derrière, suivit d’un grand espace de chargement. Les vitres arrières près de la banquette sont teintées et à l’arrière ce sont deux portes pleines sans vitrage, c’est voulu pour que lors qu’il soit chargé, on ne puisse en voir le contenu de l’extérieur. Je démarre donc le super diesel qui motorise cet utilitaire et pars à l’assaut de la montagne pour rentrer chez moi. Hé oui, je bosse en vallée et il me faut une bonne demi heure de route pour rentrer, et avec les touristes en vacances il me faut presque une heure parfois !!

Bref je roule tranquille et pour le moment, pas de file de voitures escargots à l’horizon. Arrivé à un carrefour j’aperçois une auto-stoppeuse avec une grosse valise et un énorme sac à dos posée près d’elle. Elle a du rater le bus pour monter, pensais je instantanément. Elle semble mignonne et sympa, et ne nous cachons pas, je suis un garçon, qui plus ait célibataire, et la compagnie d’une jolie fille ne se refuse pas !! Je m’arrête donc à sa hauteur pour lui demander où elle va. Elle doit rejoindre la station où j’habite, qu’elle chance pour moi et pour elle !!

Il a l’air sympa ce garçon, et de toute façon je n’ai pas le choix, c’est le seul à s’arrêter !! Il m’aide à charger mes bagages à l’arrière de sa camionnette et m’invite à prendre place sur le siège passager. Nous voila partis sur la route et nous commençons à discuter. Il me fait avouer que je dois rejoindre une amie qui travaille sur la station pour deux semaines de vacances, et que dans la précipitation de mon départ j’ai oublié de recharger mon portable et j’en ai un peu a b u s e r dans le train. Résultat, je me suis retrouvée bloquée et j’ai du faire du stop, ne pouvant la joindre pour qu’elle vienne me chercher. Il me répond que je suis une étourdie, et moi de lui dire que c’est une véritable maladie chez moi !! Le voila qui me nargue et qui me dis que c’est une maladie infantile et qu’avec une punition adéquate, ça se guérie !! Je ne sais pas quoi répondre, mais je me sens bien et détendue, c’est les vacances après tout. Et dans mon élan de bonne humeur, je lui réponds que oui je suis une gamine et une étourdie, mais que personne ne peut me punir…

Délicieuse demoiselle que ma compagne de voyage temporaire… Cela fait à peine 10 minutes que nous roulons ensemble et à nous entendre, on pourrait nous croire bons amis de longue date. Personne ne peut la punir, bien sur que si !! Moi je peux vous mettre sur mes genoux mademoiselle, lui lance je dans un ton glorieux de conquistador. Elle en éclata de rire, et lâcha un timide « pas chiche ». Il n’en fallait pas plus, nos yeux se croisèrent dans un regard gêner de part et d’autre. Pour la première fois depuis qu’elle était montée dans le véhicule, on entendait la radio. Je me concentra sur la route et revins à d’autres banalités, tout en répondant à mes questions, elle défit ses chaussures et posa ses pieds sur le tableau de bords tout en basculant le siège un peu vers l’arrière. Je la regarde faire et remarqua à haute voix que la pêche du jour était plus tôt bonne. Une claque sur mes cuisses arriva dans les 10 secondes suivantes. Je lui jette un regard froid : « c’est un compliment, et d’abord qui t’a autorisée à mettre tes pieds sur le tableau de bord ?? Encore une bêtise de gamine qui vaudrait son pesant de rougeurs… »

Sa dernière phrase me laisse perplexe, oserait-il me punir réellement ? Je me sens rougir, et dans l’envie d’en savoir plus, je descend mes pieds, remets le siège dans sa positon initiale, baisse la tête et lui répond « Oui Monsieur » d’un ton apeurée. Je décide en un éclair de rentrée dans son jeux en me disant que ça n’irait pas loin… Il me regarde d’un air visiblement content et d’une voix douce m’annonce que c’est bien mieux d’obéir, et qu’il allait me donner la punition de petite fille que je mérite. Sur ce, il se passe quelques minutes de silence entre nous et le voila qu’il engage la camionnette à l’entrée d’un sentier. « C’est un sentier de randonné, et il ne passe plus personne à cette heure ci » me confit il. Cette phrase était sans doute destinée à me mettre en confiance, et n’y réussi qu’à moitié. Il se lève de son siège et passe à l’arrière pour s’assoire au milieu de la banquette. « Maintenant tu as le choix, ou tu continues à jouer les petites filles et vient me demander la punition mérité, soit tu me dis stop et on reprend la route… » Ces mots percutèrent mon oreille et mire mes sens à mal. Je ne savais que faire. Finalement, et toute penaude, je me lève à mon tour et viens me place devant lui entre les deux siège. Malgré l’espace, je ne peux tenir debout et adopte pour une position à genoux. Mais que suis-je entrain de réaliser comme folie !! Son regard sympa est devenu plus dur et presque animal, mais je lis encore en lui que je n’ai rien à craindre et qu’il sera resté correct.

« Je mérite une punition de votre part, Monsieur » dit elle face à moi et à genoux. Je ne pensais pas qu’elle irait si loin et nous étions désormais trop engagés dans notre jeu pour s’arrêter. Je lui expliquais que comme punition j’avais choisi une fessée déculottée, elle eu alors un petit mouvement de recul et demanda si les fesses à l’air étaient bien nécessaires. Elle n’eut comme réponse que l’affirmation que les petites filles sont punies et fessées cul nu et qu’elle devait baisser son panta-court pour venir s’allonger sur mes genoux. J’eu alors le plaisir de la voir tête basse défaire lentement sont vêtement, de le baisser juste en dessous des fesses, et d’avancer pour se mettre en position.

Quelle honte pour moi !! Je suis en train d’exhiber ma culotte à un parfait inconnu et je m’apprête à recevoir une fessée !! Je n’en ai pas eu depuis l’age de 12 ans… J’hésite encore à me rhabiller en vitesse et à m’enfuir, mais la vue de mes valises derrière la banquette me rappelle que ma situation n’est pas si simple. Alors je pourrais juste lui dire stop et on reprendrait la route… Alors que j’avance, mue par je ne sais qu’elle f o r c e , une main ferme m’attr a p e par le poignet et m’approche vivement de mon lieu de punition, me lâche, saisie ma culotte et avec l’aide d’une autre main, la baisse jusqu’au cheville, entraînant mon corsaire avec. En quelques secondes, voila mon intimité exposée !! Je rougis jusqu’aux oreilles et à peine ais je le temps de vouloir protéger la vue de ma vulve que les deux mains m’allonge sur les genoux de mon chauffeur. L’une me tient par-dessous les aisselles et l’autre commence à claquer mon derrière. Il y va doucement et ce n’est pas si terrible que ça, il mêle habilement claques et caresses, et je commence à sentir le désir monté en moi.

« Vous voila punie à juste titre mademoiselle !! J’espère que ça vous servira de leçon !! » Je tente de hausser le ton et de donner une tournure sévère à ma punition, mais la vue de ce petit derrière rougissant me donne plus envie de le cajoler… Ainsi donc j’alterne les claques de plus en plus forte avec quelques caresses. Les fesses de mon inconnues commencent à prendre une belle couleur d’automne, et je ralenti le rythme pour finir par ne plus que caresser. Ses joues sont elles aussi bien rouges et une petite larme est visible… Ses jambes crispées et serrées au début se sont légèrement écartées et sont bien détendues. Une petite caresse au creux de celles-ci m’apprend que la propriétaire n’a pas détestée ma petite punition. « Vous n’avez pas honte Mademoiselle ?? Vous exciter ainsi sur les jambes d’un inconnu ? » Elle ne répond que part un faible oui, et me demande de la punir pour ça aussi.

Et voila, il y a 10 minutes, j’hésitai à baisser mon corsaire et maintenant j’en redemande !! C’est tout moi ça, j’aime découvrir de nouvelles choses… « Pour l’étourdie que je suis, pour mes pieds sur le tableau de bord et pour mon excitation, je voudrais que vous me punissiez sévèrement Monsieur… » Voila je lui ai donné par cette petite phrase, un grand pouvoir sur moi. Sur le coup je me dis que j’allais le regretter, mais par la suite et avec le recul, j’en redemanderai… Pour le moment, le voila qui saisit la poignée du dossier centrale de la banquette à coté de lui et baisse complètement le siège. Il se relève et me dit de m’allongée sur le ventre sur ce siège. Je me retrouve la tête et les pieds dépassant quelques peut de chaque coté et le torse bloqué entre les deux autre assises de siège. Et voila monsieur qui remonte mon t-shirt jusqu’au milieu du dos et ainsi dévoile complètement mon bas du dos et laisse un accès complet à mes fesses et replies intimes. Il s’agenouille avec un genoux de chaque coté de moi et resserre ainsi un étau de jambes bien efficace !! Il pose une main sur mon dos et m’annonce qu’il va être plus sévère…

Ses fesses nues et exposées sont complètements libres d’accès et m’offre un superbe panorama. Je me dois d’être plus sévère comme promis et reprend ma fessée par de petites claques qui deviennent rapidement plus fortes et dans un rythme plus soutenu. Ces jambes gigotent beaucoup et je l’entends qui commence à gémir de douleur… Ne pouvant protéger ses fesses, elle saisit à pleine main l’appuie-tête et le cramponne fortement. Qu’elle spectacle magnifique que de la voir ainsi offerte à mes mains, et que de voir son corps réagir à mon traitement. Lorsque je ralenti enfin pour revenir à des caresses, ses fesses sont écarlate et je me penche pour poser quelques instant ma tête dessus… Elles dégagent une chaleur douce, et intense à la fois. Je pose un baiser dessus et me relève, libérant ainsi mon auto-stoppeuse. Elle se retourne et se pose face à moi, à genoux sur la banquette.

Une grosse larme coule sur ma joue et je ressens un mélange de honte, de douleur et de plaisir. Je le regarde, il me sourit et son visage dégage un trop plein de tendresse. Je me jette dans ses bras et loge ma tête contre son épaule pendant qu’il me console. Je sens un baiser dans mon cou qui se transforme en morsure légère, puis c’est au tour du lob de mon oreille. Je n’en peux plus et fond, je me recule un peu puis l’embrasse tendrement. Les 2 autres sièges s’abaissent et nous profitons de ce lit improvisé pour passer à d’autres jeux.

Finalement ce soir là, il m’aura fallu près de 2 heures 30 pour rejoindre la station, et après nos ébats, j’ai tendu mon téléphone portable à mon inconnue en lui disant qu’elle pouvait appeler son amie pour la prévenir de son arrivée. Elle fit et me demanda de la déposer devant un immeuble que je connais bien. En arrivant, son amie attendait devant l’immeuble, elle descendit et se jeta dans ces bras. Elle devait surtout être contente de quitter le siège et sa position assise qui était devenue inconfortable après notre halte. Je descendis à mon tour et qu’elle ne fut pas sa stupeur quand j’interpellais son amie d’un « Hello miss » qui ne laissait aucun doute !! Je connais très bien son amie car nous travaillons ensemble l’hivers. Je sors les bagages et m’en retourne chez moi non sans hurler par la fenêtre de ma camionnette « Pense à la crème pour les rougeurs !! Vous devinez la couleur que prient les joues de mon auto-stoppeuse, et le regard intrigué de son amie…

Jeudi soir, soir d’apéro.

Nous sommes jeudi soir, je suis rentré du boulot et je passe faire un tour en station pour voir un peu mes amis. Une petite heure plus tard nous sommes au bar à discuter… Bien évidemment j’y retrouve quelques potes, et demoiselles dont ma collègue en fonctions des saisons que je nommerai la Miss et sa copine vacancière auto-stoppeuse… Je m’approche d’elles et nous entamons la discussion. Bien évidement je ne peux que glisser quelques allusions aux punitions ou fessées et à la vue de leurs réactions, je dirai que la Miss n’est pas au courant de la fessées de son amie et la vacancière me fait comprendre par de petits clins d’œil qu’elle aimerait recommencer un jour.

La Miss nous laisse pour aller discuter avec des copains et je me retrouve donc toute seule avec mon chenapan de fesseur. Je me sens moins sure de moi d’un coup et moins fière car je n’ai plus de protection. Que faire, le laisser et aller rejoindre la Miss ou discuter quand même avec lui au risque qu’il ne me propose de venir chez lui pour me punir ?? Je dois avouer qu’a l’idée d’une nouvelle fessée, je sens le trouble monter, mais je ne voudrais pas me donner trop facilement à ses mains et encore moins chez lui. Aller, la Miss semble être parti dans un jeu de drague avec un mec, je ne vais pas la déranger, je reste donc discuter avec lui. La parlotte s’oriente vers mes activités de la semaine, la piscine hier toute seule et le shopping dans la vallée mardi avec la Miss car c’était son jour de repos. Je me plains de n’avoir pas été randonné et luis explique que j’aimerais profiter de la montagne pour aller marcher avant de repartir dans une semaine. Il m’écoute et discute avec moi normalement, il ne fait aucune allusion aux fessées pour me mettre mal à l’aise et me répond même qu’avec la Miss, je ne suis pas prête d’avoir un guide pour la montagne. Dit donc, il la connaît bien ma copine !! C’est vrai que ce n’est vraiment pas une randonneuse… D’un coups tout change, le voila qui me propose de m’emmener demain faire une petite marche pour aller cueillir des myrtilles. Mais on est vendredi demain, il ne bosse pas ? Sa réponse est toute banale, il a déposé un jour de congé pour se faire un week-end de trois jours, et d’ailleurs il m’apprend dans la foulée que je suis invitée avec la Miss chez lui samedi soir.

Elle m’a l’air abasourdie ma vacancière. Je lui explique que la Miss m’a demandée pour venir chez moi profiter de ma ligne Internet et que je lui ai proposé de venir dîner samedi soir, ce qui nous arrive régulièrement. En parlant du loup, la revoilà la Miss.

Pfffff, les mecs sont tous les mêmes !! Il était mignon ce gars au bar, mais un vrai con… Je suis crevée, je récupère la mistinguette et on rentre !! « Alors, de quoi parlez vous ? » Ma question est absurde, mais je ne savais comment leur signaler ma présence, ils semblent bien s’entendre ces deux là… Mon amie, me répond qu’il lui a proposé d’aller cueillir des myrtilles demain et d’en profiter pour marcher. Je lui répond qu’elle a trouvé là un excellent guide et lui fait une petite grimace complice qu’elle comprend aussi tôt. Son regard s’éclair et elle semble avoir prise une décision. Mais qu’es ce qui la fait réfléchir comme ça ?? Elle regarde mon ami et lui dit « Ok pour demain. Passe me prendre à 9h devant l’immeuble ». Enfin, ils ont un rendez vous, on va pouvoir aller manger. Nous prenons donc congé de lui et il répond nous répond tranquillement « A samedi Miss, et à demain la vacancière. Heu, si tu es d’humour joueuse, tu n’as qu’à te coiffer comme une gamine… » Mais que voulais dire cette dernière phrase prononcé avec un si beau sourire auquel je n’ai le droit que très rarement… Nous sortons du bar, et je questionne mon amie, mais celle-ci m’assure qu’il ne se passe rien entre eux, j’insiste car à voir son visage rouge je sais qu’elle me ment !! Elle m’avoue qu’ils ont échangé un petit baiser dans le bar, et qu’il lui avait dit que c’était sa petite gamine… Je n’y comprends plus rien !! Je ne l’ai pas vu échanger de baiser, et ce genre de surnom « gamine », ce n’est vraiment pas le style de mon ami. Tant pis, j’en serai pas plus et nous rentrâmes passer le reste de la soirée normalement et sans autres bizarreries.

Il est 9h et je sors de l’appartement, j’arrive devant l’immeuble et là je retrouve mon chauffeur et guide. Il m’attend patiemment, appuyer à une clio. Je lui dis bonjour et lui demande s’il a changé de voiture, il me répond que la sienne est réparé et donc finit les voyages en utilitaires… Il semble déçu car j’ai laissée mes cheveux libres et donc si j’ai bien compris son message, lui fait signe que je voulais juste aller me promener. Nous prenons sa voiture et après un petit quart d’heure de route, nous nous arrêtons au bord d’un chemin. Quand la voiture s’arrête je viens de finir de faire ma deuxième couette. En effet, durant le trajet j’ai réfléchi et vu ses mains sur le volant, j’en ai eu envie et je suis maintenant bien réveillée… Il m’a laissée faire, sans trop me regarder et à garder son air concentré sur la route. Faut dire qu’avec lui, les virages s’enchaînent à vive allure. Nous sortons de l’auto et il se dirige vers le coffre, de là il sort son sac à dos et me tend le mien, met ses chaussures de marches et ferme la voiture. « C’est par là » Me dit il en indiquant un chemin du doigt. Il a l’air plus détendu et joyeux, mais n’a fait aucune allusion à ma nouvelle coiffure. Est il trop tard ? Ne veut il finalement pas de mon popotin ?

Mon air détaché semble faire son effet, elle se pose des questions et ne s’attend sans doute pas à ce que je lui prépare. J’entame la discussion sur des banalités à savoir depuis quand elle connaissait la Miss, et nous nous engageons ainsi sur le sentier. J’ai un bon pas et voit qu’elle a du mal à suivre, donc tout en marchant et parlant j’attr a p e une petite branche sec au vol, et lui claque les fesses d’un coup vif avec. Malheureusement la branche s’éclate en morceaux aussi tôt, et ne fait pas grand effet si ce n’est de prévenir ma vacancière que la fessée peut arrivée… Elle semble avoir compris la menace et se met à marcher plus vite. La discussion reprend comme si de rien n’était mais je la sens un peut plus nerveuse… Apres une heure de marche, nous arrivons dans un coin à myrtille, une zone dégagée avec un petit torrent qui donne l’humidité nécessaire et à 10 mètres, une trouée dans les bois qui fait place à une arrivée de piste et au télésiège qui permet sa remontée. Je sors de mon sac à dos une boite pour me mettre à cueillir et invite ma vacancière à faire de même : « Mais je n’ai rien pris, j’y ai pas pensée » me dit elle. Je la gronde gentiment et la voie baissée ses yeux, elle attend que je la fesse… Je ne vais pas lui faire plaisir trop vite et lui tend un sac plastique, et lui dit simplement de cueillir et vite d’un ton assez sec.

Je saute sur les pieds de myrtille et me dépêche de remplir mon sac… Mais pourquoi ne m’a-t-il pas encore fessée ? Il me laisse ruminer dans mon coin sans intervenir, je devrais peut être le provoquer plus… Je me dirige vers le ruisseau et j’entend un « Attention, ça glisse par là » mais n’en tient pas compte. De toute façon ma décision est prise, je fais semblant de glisser et hop fesses dans l’eau en hurlant un « Hééééééé ». Il court vers moi et m’aide à me relever, j’ai le short complètement trempé et l’eau est super froide !! Mais qu’est ce que j’ai fais !! C’est de sa faute aussi s’il m’avait punie tout à l’heure je ne l’aurais pas fait. Une fois debout, il me conduit rapidement au soleil et j’entend un ordre à me faire pâlir tellement il est sec et prononcé avec f o r c e « Enlève ton short et pose le sur les petits rochers au soleil et pose tes chaussures et chaussettes à cotés !! » Je reste tétanisée et lui demande pourquoi mettre les chaussures au soleil, il m’explique plus posément que le short mouillé donne des rhumes aux gamines et que les chaussettes trempées dans les chaussures, des ampoules. Alors comme je suis une gamine prise en faute et que j’ai terriblement envie de jouer ce rôle, je m’exécute et me retrouve vite à aller faire sécher mes affaires en culotte et débardeur. Je reviens vers lui plus doucement car je sens les petits cailloux et épines de sapins sous les pieds, il s’approche avec son regards sombre, m’attr a p e par le bras et me tire jusqu’aux pieds de myrtilles et me fais reprendre ma cueillette à coté de lui. Mais qu’ai-je fais ? Il semble ne pas vouloir me donner la fessée, tout juste me dit-il que si je garde ma culotte c’est par pruderie car elle mériterait de sécher avec le reste. Mais je voudrais bien qu’il l’enlève et même le reste s’il veut du moment que j’ai ma punition et que mon popotin soit réchauffé.

Je sens qu’elle commence à me haïr. Je ne suis pas à son bon vouloir et lui fait comprendre. Cela fait dix minutes qu’elle cueille en tenue légère et sont sac semble bien remplit. Je ferme précieusement ma boite pleine et la pose dans un coin à l’abri, puis me dirige vers elle, « Alors, ou en es tu ? Moi j’ai finit de remplir ma boite. » Elle me regarde avec des yeux calmés mais pas tranquilles, elle prend son sac et s’apprête à se relever. Mais je m’accroupi plus vite et d’un petit coup d’épaule, je la fais basculer sur le coté et vlan et tombe sur ses fesses mais sur le sac de myrtilles !! « Mais qu’est ce que tu fais !! » m’écriais je l’air innocent. Elle se relève complètement cette fois et ne peux que constater les dégâts. Les myrtilles sont sorties du sac dans la chute et une bonne partie à finit écrasée, désormais elle a la culotte toute tachée d’un jolie v i o l et… Je l’attr a p e par le bras et l’emmène jusqu’au télésiège, là je lui demande d’ôter son débardeur et de faire un tout sur elle-même pour voir le résultat de ses bêtises.

Cette fois je ne vais pas y couper, il à l’air décider à me punir. Je ferais mieux de l’écouter. J’enlève donc mon débardeur et le jette à terre, puis mains sur la tête je fais deux petits tours doucement en cambrant mes reins. Il me complimente sur mon corps, mais pas sur l’état de ma culotte !! Il me gronde et j’ai vraiment l’air bête en sous-vêtements dans une zone dégagée et en nature. J’ai honte de ma position et surtout honte d’avoir suivit son plan et de me retrouver dans cette situation, car il a voulu cette situation et m’y a emmenée… Il reprend mon bras et me tire plus durement cette fois vers le télésiège. Un des sièges et à la position la plus basse mais quand même à plus d’1m20 du sol. Tout en me tractant là bas, il n’arête pas son sermon et me di que depuis ce matin je ne fais que chercher ma fessée et que du coup ça allait être un midi et une aprèm de punitions pour moi !! Il profite de la situation là, et je le laisse faire car envie de découvrir ses punitions. Je me retrouve alors bien vite le torse allongé sur le siège, il s’écarte quelques minutes en m’interdisant de bouger, puis revient. Mes fesses sont offertes et attendent le bon vouloir de monsieur, celui-ci d’ailleurs les trouves trop protéger et baisse ma culotte jusqu’à me faire lever les jambes une par une pour l’ôter complètement et la lancer au loin vers le pâturage de la piste de ski. J’ai peur et un petit air frais me fait frissonner la peau. Il s’en rend compte et me promet de me réchauffer très vite. Et vlan la première claque retenti sur mon fessier tendu dans toute la vallée, j’en suis sûre.

Humm, quels doux bruits. Cette petite coquine m’a provoquée alors je la punirai comme il faut. Je fais pleuvoir les claques et sont fessier se réchauffe très vite, les frissons de froid disparaissent laissant place à d’autres qui lui font aussi trémousser ses petites fesses. Elle lève une jambe et je comprends que la douleur commence à se faire sentir. Je relâche le rythme et viens la caresser, ses mains tentent de se joindre à mes caresses mais je les repousses près de sa tête en lui susurrant qu’elle était punie et que pour la punition, son popotin m’appartenait. Je reprend un peu de distance et ramasse la belle branche que j’avais été cherché pendant son attente. Elle aperçoit cette branche entre mes mains et d’un mouvement de peur veux se relever, mais ma main ferme et mon bras musclé la replace aussi tôt sur la banquette. « Toute discussion est inutile » luis dis je gentiment, puis je me recule en laissant ma main caresser ses fesses une dernière fois avec que la branche ne s’en charge. Elle tremble et je décide de ne pas la laisser trop attendre. CLAC. Le premier coups et tombé, et s’en jetée plus en avant sur la banquette et à peine se laisse t’elle glisser au sol que le deuxième part et atteint sa cible.

J’hurle cette fois !! La douleur est aigue et forte, je veux me relever et me protéger, mais ses mains sont toujours plus rapide que les miennes et me replace. Je me rend alors compte que je suis devenue docile et que je me laisse faire, depuis le début je me laisse guider, pourquoi ? Je ne sais y répondre si ce n’est quand il passe sa main sur mes fesses et parfois près de ma vulve que je sens une excitation sourde et intense monter. Il se recule et enchaîne trois coups rapide et très sec, je fond alors et tombe à genoux la tête posée sur la banquette. Il m’aide à me relever, il ne tient plus la branche et me prend dans ces bras pour me consoler. C’est si bon, après cette punition que j’ai tend méritée. Ces mains caressent tout mon corps et j’ai alors ce désir de m’offrir a lui. Ces doigts l’on compris et me prépare en enlevant mon dernier rempart avant la nudité qu’est mon soutif et en prenant ensuite possession de mes seins et de tout mon corps, tandis que je lui donne mon accord en ôtant son t-shirt. Nous fîmes l’amour adossé sur la banquette, puis sur la banquette… C’était divin et me délivrait en même temps de la douleur. Ce moment magique passé, nous décidâmes de manger un morceau, il m’envoya alors rechercher ma culotte tandis qu’il sortait les sandwichs de sont sac. Je revenais vers lui tranquillement et allais revêtir mon dessous quand il me stoppa : « Tu n’en a pas besoin pour manger et ta punition n’est pas levée ! ». Qu’allait il inventer ? J’ai déjà les fesses bien marquées de son action !! Je posai donc ma culotte sur la banquette et il me tendit un sandwich. Nous les dévorons car la faim est très présente.

Cela fait du bien de se restaurer. Ma vacancière semble bien de mon avis même si elle a un peut de mal à tenir assise… Le repas terminé, elle semble aux anges et je décide de la faire redescendre sur terre. « Bien, nous allons reprendre ta punition de gamine pas sage !! » Elle se lève et me regarde inquiète en plaquant ses mains sur son derrière meurtri. « Tes bêtises nous on fait perdre un sac de myrtilles et ta culotte est sale, il faudrait réparer tout ça !! Malheureusement pour ta culotte, on ne peut rien faire ici, l’eau ne suffirait pas !! Alors voici un autre sac que tu vas à nouveaux remplir de myrtilles et dans ta tenue actuelle. Si tu ne vas pas assez vite, je te stimulerai avec la branche !! ». Elle saisit le sac de mes mains et se mise tout de suite au travaille. Je crois que je pourrais faire une tarte pour samedi et quelques confitures. En moins d’une heure, son sac est plein et je peux en transférer le contenu dans une autre boite vide. Hé oui, j’allai pas lui donner une boite solide au début… Durant cette petite heure, je lui ai bien donné 2 petits coups de branche mais elle a été bien efficace… J’en suis un peu déçu et doit vite trouver autre chose. La solution viendra d’elle… En m’aidant à remplir la boite, elle me demande si elle peut aller se soulager. « Pas de problème, va derrière ce buisson » lui répondis je.

Chouette, j’ai enfin réussie à me libérer de la punition…. Je me planque derrière le buisson indiqué et me soulage… Je n’ai pas envie de retourner tout de suite près de lui, il a sans doute une autre idée pour finir la punition. Je m’allonge et reste ainsi dans l’herbe, mes mains se dirigent vers ma grotte qui est encore humide et je me caresse longuement… C’est trop bon, et le plaisir vient vite, je ferme les yeux et tandis que mes yeux sont fermés pour me laisser aller complètement, je jouie. Lorsque je rouvre les yeux, il se tient devant moi, me regardant allongée nue comme Eve et une main encore posée sur mon bas ventre. Je suis surprise et aimerait qu’il me rejoigne, mais il en décider autrement et profite du moment pour me punir à nouveaux. Il se pose à genoux près de moi et en un éclair me saisit, me retourne et me bloque contre lui avec son bras. Je suis à 4 pattes et ne peux plus bouger, il lève sa main et une pluie de claques tombe drument sur mon petit postérieur. J’ai beau me trémousser, je n’arrive pas à lui échapper et j’ai désormais l’impression qu’un ouragan s’abat sur moi. Quand il stoppe enfin et me relâche, je m’effondre à terre, reprend mon souffle et lui dit que je suis décidément sa gamine et que j’adore ses punissions. Il me laisse ainsi quelques minutes puis m’aide à me relever, j’ai les fesses en feu !! Nous retournons près des affaires et c’est seulement parée de mes chaussettes et chaussures que l’on reprend le chemin en direction de la voiture. Le reste de mes affaires étant dans son sac, et j’accepte cette dernière punition tout en sachant que je n’ai vu personne de la journée par ici. De toute façon, je ne sais pas si je pourrais supporter ma culotte ou mon short.

Le retour se fait un peut plus long que l’allé, la fatigue aidant. Après une bonne heure et demi, nous sommes arrivés à la voiture, je change de chaussures pour enfiler mes baskets et redonne les affaires à ma vacancière sauf la culotte que je place dans son sac en lui disant de la jetée car tachée comme ça, elle ne pourra jamais la récupérer. Au lieu de s’habiller, elle tend ses bras à mon cou et m’embrasse. Nous nous écartons de la voiture et refaisons l’amour posés à même un rocher juste derrière quelques sapins. Aucun de nous deux ne souhaite que cette journée finisse, mais il arrive un moment ou il faut finalement rentrer.

Fin du séjour…

Samedi soir, 19h30 environ… je fini de préparer un petit apéro dans l’attente de mes deux invitées… La Miss m’a appelée pour me confirmer de sa venue et son amie pour ce soir. Elle avait l’air en pleine forme et a conclue la discussion sur une petite phrase taquine « tu risques d’avoir une belle surprise ce soir… » et avait raccrochée aussi tôt !! Qu’avait elle encore inventée !! Je me le demandais… Des bruits de voix me tire de mes songes et je reconnais bien un rire tonique et plein de vie, c’est celui de la Miss. On toque à ma porte (hé oui, pas de sonnette, juste un bel anneau en fer forgé), je lance à haute voix un « Entrée » qui n’ai même pas attendu pour ouvrir la porte… Me deux demoiselles franchises alors le pas de la porte… Elles sont ravissantes et très joyeuses ce soir !! Elles sont encore en plein fou rire et une chose m’attire immédiatement quand elles rentrent, elles sont toutes les deux vêtues en jupette alors que ce n’est pas leur style et des couettes en guise de coiffure !! Je n’en reviens pas…

« T’as vue ça tête !! » Et vlan, on repart pour un fou rire avec la Miss… C’est vrai qu’il est vraiment surpris là !! On reprend notre calme et quand la Miss lui demande s’il n’est pas content de la surprise, il se ravive et nous répond un joli « Ho, que si !! » qu’on pourrait attribué à un coyote près à fondre sur sa proie… Il nous propose alors de prendre l’apéro tant que la Miss aille voir sur Internet pour ses billets de train. Je reste alors seul avec lui, il ouvre la porte fenêtre donnant sur le balcon et me pousse dessus par une petite claque sur les fesses. Un peut surprise, j’avance et quand nous sommes hors de portée de voix de la Miss, je devine à son regard qu’il aimerait savoir pour nos accoutrements… Je ne tarde pas à lui révéler que lorsque je suis rentrée à l’appart après notre cueillette, je sui allée prendre une douche mais je n’ai pas verrouillé la porte de la salle de bain !! Et pendant ma douche, la Miss est rentrée du travail et a voulu ce rafraîchir. Elle est alors rentrée dans la salle de bain quand je sortais de ma douche… Elle a peut admirer quelques rougeurs encore présentes sur mes fesses et surtout les marques laissée par la branche… Je lui ai alors tout raconté !! Il me regarde amusé, et me dit que si nous sommes habillées comme cela c’est que la révélation n’a pas trop choqué et que nous étions deux joueuses… « Alors soit sage, si tu veux pas que ton amie voit comment tes fesses peuvent obtenir ses belles couleurs… » Sera ça seule phrase qui me fera rougir avant que la Miss ne revienne à nous.

Je suis un peu excitée moi !! Mais qu’est ce qui m’a pris de dire à ma copine que nous devrions nous habiller comme des gamines pour aller chez lui. J’espère qu’il ne le prendra pas comme une invite !! Bon aller, je me sers un Martini blanc et les rejoints sur le balcon… « Que complotez vous ? » dis je en arrivant près d’eux. Visiblement je mettais fin à une conversation qui semblait les absorber complètement. Tiens ma copine a déjà les joues toutes rouges, mais je comprends vite pourquoi, son verre est déjà vide !! Il est bien quand même ce pote, il l’a vu aussi et reviens avec les bouteilles… Nous sommes bien là à boire notre petit apéro au soleil et dire que la semaine prochaine c’est le retour à la maison et je ne reviendrai qu’en novembre pour la saison d’hivers… Les deux amants me tirent de ma torpeur et de mes rêveries pour passer à table. C’est vrai qu’après ce que m’a raconté mon amie, je ne peux les voir que comme des amants, mais je ne pensais pas de lui qu’il pouvait avoir cette capacité à devenir dur et dirigeant…

Houlà, la Miss ne semble pas à son aise… Peut être est elle perturbée par notre tenue… Bon allé on va se détendre en mangeant. Le barbecue est déjà bien chaud et les grillades arrivent vites, accompagnées de salades de pâtes et de rosé. Hummm, on se régale et tout le monde discute à tout vas !! J’en oublie même les histoires de fessée… Lui, il préside sa table et son repas tranquillement… Une bonne heure plus tard, nous décidons de passer au dessert et avant de débarrasser un peut la table. Et voila que mon étourderie va faire basculer la soirée !! Une assiette va se fracasser au sol !! Et voila que j’entends déjà le maître de maison me priver de boisson… Très rapidement il me tend une petite pelle en plastique pour nettoyer mes dégâts. Je me sens honteuse de nettoyer le sol avec la balayette et de voir sur moi les regards de mon amie qui semble affolée à l’idée que je puisse être maintenant déculottée sur place et de l’autre coté celui de mon fesseur près à me punir… Je crois qu’il sent que la Miss n’est pas prête…

Mais ce n’est pas vrai !! Qu’est ce quelle est étourdie celle là !! Maintenant il va vouloir la fesser avec nos accoutrements !! Et moi je ne veux pas voir ça, faut que je me sauve… Vite, monter à l’étage près du PC… Je m’écarte vers l’escalier tandis que ma malheureuse copine va à la poubelle vider la petite pelle, quand retenti un « ATTEND !! » sec et sans demande de retour. Je me bloque sur place et me retourne… C’est lui qui a sorti sa tarte aux fameuses myrtilles et me demande si je ne veux pas de dessert !! Je reviens vers la table et nous attaquons la tarte, il fait comme si rien ne s’était passé et je me détends. Par contre, il ne peut s’empêcher de faire une allusion à la cueillette : « faite attention en mangeant, sa tache les myrtilles !! Hein ma vacancière ? » Et elle qui répond tête baissée « Oui, surtout le coton blanc. » Mais c’est pas possible !! On dirait qu’ils sont ligués contre moi... J’ai envie de fuir la table, mais ma copine relève la tête et d’un clin d’œil arrive à me persuader de reste. Je commence à croire que c’est pas une étourderie si l’assiette à finit au sol. « Habillée comme ça, à la moindre bêtise, il nous calera sur ces genoux, c’est super !! J’espère que tu iras au bout et ne fuira pas… » Cette petite réplique qui venait de sa part alors que nous allions partir me reviens comme un coup de canon. Je n’y avais pas prêté attention, emportée par la bonne humeur… On ne vit qu’une fois !! Alors je reste à table et quand il se retourne vers moi pour me demander si je veux un autre morceau de tarte, je heurte le morceau posé sur la pelle à tarte tendue vers moi, et celui-ci atterri sur mes genoux !!

C’en est de trop cette fois !! « Mais c’est pas possible !! Vous ne faites jamais attentions !! » La Miss récupère comme elle peut le morceau, le pose dans son assiette et file vers la salle de bain. La vacancière, elle, se lève et viens près de moi « commence par elle » me glisse t’elle à l’oreille puis prend un position de petite fille fautive mains croisée dans le dos et regard baissé. « C’est de notre faute, on avait fait le pari d’arriver à te mettre en colère » dit elle de façon assez forte que son amie dans la salle de bain puisse l’entendre et décider de ce qu’elle allait faire. Soit elle sort et avoue sa complicité et je la corrige, soit elle proteste et on comprendra qu’elle ne veut pas jouer et j’en resterai là.

La conne, elle vient de me balancer !! En plus qu’es ce que c’est que cette histoire de pari !! Et j’ai beau frotté, les taches ne partent pas !! Ma grande, faut te calmer… J’ai le traque, me faire déculotté par lui que je commence à si bien connaître, il va f o r c é ment en profiter par la suite quand nous bosserons ensembles… Mais d’après ma copine, c’est un si délicieux moment que je voudrais quand même testé et là il faut mieux quelqu’un de confiance… Pas facile de prendre une décision mais ils se sont arrangés pour me laisser le choix… Aller, je sors…

Elle se dirige vers nous, l’air penaude… J’espère qu’il va faire vite pour qu’elle ne puisse se sauver et renoncer. « Alors mademoiselle, j’attend vos explications !! » Chouette il fait comme s’il ne nous connaissait pas. C’est bien plus simple de se livrer ainsi. Je commence à bredouiller que c’était un pari, mais je suis interrompue par la Miss qui déclare que l’idée du pari venait d’elle. C’est super, elle se lance à son tour… Elle s’approche tout doucement de lui, mais il a alors un geste rapide et d’une détente brutale saisie son bras et vient là coller à lui. Il claque son derrière de façon magistrale puis se dirige vers une chais toujours en la tenant.

« Aille !! » Quelle claque !! Je ne peux plus vraiment faire demi tour, et où m’emmène t’il ? Il attr a p e une chaise et s’assoit dessus, et en deux secondes je pers l’équilibre pour me retrouver allongée sur ces genoux !! Il commence à me fesser rapidement mais pas trop fort, la sensation n’est pas si terrible comparée à la position. Je voie mon amie qui vient se poster face à moi, elle me regarde d’un air complaisant et me sourie… Les claques s’arrêtent, il me lâche et je peux me relever… Mon amie vient pour me consoler, mais il l’attr a p e au passage sauf que pour elle, elle se retrouve sur ces genoux mais jupette relevée. Sa culotte m’est exposée et j’en rougie. Il ne tarde pas à claquer ses fesses par-dessus le tissu. Je suis fascinée par le spectacle de son popotin qui s’aplatit puis sursaute à chaque claques, il y va bien plus fort que pour moi… Quand il décide de la relever, je peux voir le rouge dépasser de sa culotte et une envie folle de regarder sous ma jupe si l’effet est pareil sur moi me prend. Je ne résiste pas et regarde… De toute façon, il est trop occupé…

Mais que vois je !! Alors que je relâche ma vacancière, je vois la seconde qui regarde sous sa jupe !! « Mademoiselle la Miss, voulez vous que je vous aide ? » Elle se retourne et ne sais que dire… Je me relève et comme elles veulent voir sous leur jupes, je leurs ordonnes de les enlever. Elles s’exécutent mais en rigolant. C’est inadmissible et j’envoie la vacancière au coin face à un mur et reprend la Miss sur mes genoux. « Mademoiselle la Miss, comme vous voulez les mêmes couleurs que votre amie, vous allez les avoir !! »

Il reprend de me chauffer les fesses, mais cette fois, ça va bien plus vite et plus fort !! Me voila servie, et je ne sais si je tiendrai longtemps… Mon amie détourne la tête de son mur pour me regarder, qu’elle honte pour moi… Il a du s’en apercevoir car stoppe la fessée et en m’aidant à me relever nous proclames que comme il ne peut en punir une sans que l’autre ne se tienne sage, il va nous punir toute les deux en même temps.

Il tient la Miss au bras gauche et avec son droit me prend au passage. Et voila que nous nous retrouvons toutes les deux à genoux sur la banquette !! Nous échangeons un regard complice et sommes prêtes à ne pas céder facilement et déclarons en cœur « la punition est injuste !! On a rien fait !! » Pour toute réponse je sens juste ses mains se poser sur ma culotte et la voila qui descend rapidement, et aux rougeurs figurants sur les joues de ma copine je peux en déduire qu’il en va de même pour elle. Il s’absente à peine quelques secondes et revient avec une ceinture !! Nous devons avoir toute les deux le même regard affolé, car il vient se mettre juste en face de nous et en nous fixant de ses yeux, nous annonce que la fessée va être progressive. Et que tant que nous n’aurons pas avouées l’avoir provoqué et avoir volontairement causé nos dégâts, il montera en puissance…

Je me dirige derrière elles et passe ma ceinture sur leurs derrières ainsi bien exposés… Au glissement de la ceinture, la réaction est unanime, des frissons doux et fascinant à regarder. Elles sont si belles ainsi exposée et avec leurs fesses quelques peut rougis… Après quelques caresses avec la ceinture je la lève et laisse tomber le premier coup.

« Aille !! » Je ferme les yeux, pense que je voulais recevoir cette première fessée et reprend courage dans le regard de mon amie…

« Ouille !! » c’est à mon tour maintenant. Comme tout à l’heure je pense qu’il y va plus fort pour moi que pour la Miss. Je la regarde, et au rythme des coups suivants chaque fois que l’une ferme les yeux, quand elle les rouvre elle peut voir le regard inquiet de l’autre qui attend le sien… Ainsi nous tenons bon et ne cédons pas… Mais si la douleur augmente avec la f o r c e qui prend de l’amplitude.

Elles ne s’avouent pas vaincues, et résistes… j’ai envie de les embrasser toute les deux… Je stoppe ma punition et caresses avec mes mains leurs popotins déjà bien rougis… A ma question « Voulez vous avouer vos fautes ? », elles répondent « Non ». Je me recule donc et recommence la fessée.

Je n’en peux plus il a repris de plus belle et on a de plus en plus de mal à se voir avec mon amie… Je vais craquer et même si pour elle ce n’est plus sa première punition, elle ne semble pas mieux que moi… Nos regards n’arrivent plus à se croiser… « Aille !! » encore un coup qui me fait effondrer sur la banquette... Je n’en peux plus et avoue avoir fait exprès de renverser la tarte… Je reprends quand même la position et attr a p e les mains de mon amie pour lui donner du courage car elle ne s’avoue pas…

La Miss a tenu moins longtemps que moi, et sans son aide j’aurai déjà lâché, mais désormais mes fesses me brûlent et j’ai envie de pleurer. J’hurle « Stop !! J’avoue avoir cassez l’assiette volontairement » et m’écroule sur la banquette entraînant avec moi la Miss par les mains…

Les voila toute deux allongés dans les bras l’une de l’autre, je contemple ce doux spectacle rehausser par une belle couleur rouge… Elles se regardent et on peut clairement voir qu’une grande complicité vient de naître entre ces deux là au travers de ma punition. Je laisse et vais ranger ma ceinture.. Quand je reviens quelques minutes après, elles sont debout, me regardent et se jettent dans mes bras… je les console comme je peux et nous restons ainsi un moment entrelacés. Elles prendront par la suite congé de moi et malheureusement les évènements firent que nous ne sommes pas arrivé à nous recroiser avant leur départ… Tant pis, je reverrai la Miss cet hivers et peut être la vacancière…

Au revoir les mistinguettes…

Filou

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